Un atelier que recuerda al viejo Batignolles con sus inmuebles de la planta baja dando al patio. Esencial en los atelieres, esa bocanada de luz y aire que penetra a través de las ventanas vidriadas. Y ese encanto se respira en esa pieza del fondo del atelier de Berjoan. Entre viajes y escapadas, me había desaparecido de las exposiciones del artista y de las puertas abiertas habituales del barrio. Tomé nota de lo que significa respirar calmadamente y entré sin prisa al atelier situado en el 35 de la rue Truffaut.
Voici les peintures, voici l’impression qui provoquent les titres de tableaux en regardant les photos prises dans l’atelier.
Au seuil de la porte de l’atelier, je me suis retourné vers la Sarabande des couleurs accrochées aux murs comme Un clou dans l’argile, Fortissimo, la Rumeur de l’eau en Ebullition sortant de la Chambre acoustique était une sorte de Milonga del Angel dans la voix de Caruso. Pas d’eau dans la théière, juste du lait, le Lait du jour. La forêt semblait une Pluie d’arbres, suspendus, en pleine Efflorescence, Homme-Arbre, Maisons dans les arbres ; au milieu de la pièce, je rêve, Madame rêve, Lili s’applique à l’Effeuillage des arbres, l’ange chante une deuxième Milonga, un Cheval de Troie m’invite monter sur la monture, Un trou dans la nuit encore visible ouvre la ruée vers l’or, je sors de l’atelier, Pas à pas, je regarde dans toutes les Directions, le soleil tombe comme un Confetti, teinté d’un Rouge absolu, au fond de la rue, (Le)point des horizons... (©2009-cAc)
Voici les peintures, voici l’impression qui provoquent les titres de tableaux en regardant les photos prises dans l’atelier.
Au seuil de la porte de l’atelier, je me suis retourné vers la Sarabande des couleurs accrochées aux murs comme Un clou dans l’argile, Fortissimo, la Rumeur de l’eau en Ebullition sortant de la Chambre acoustique était une sorte de Milonga del Angel dans la voix de Caruso. Pas d’eau dans la théière, juste du lait, le Lait du jour. La forêt semblait une Pluie d’arbres, suspendus, en pleine Efflorescence, Homme-Arbre, Maisons dans les arbres ; au milieu de la pièce, je rêve, Madame rêve, Lili s’applique à l’Effeuillage des arbres, l’ange chante une deuxième Milonga, un Cheval de Troie m’invite monter sur la monture, Un trou dans la nuit encore visible ouvre la ruée vers l’or, je sors de l’atelier, Pas à pas, je regarde dans toutes les Directions, le soleil tombe comme un Confetti, teinté d’un Rouge absolu, au fond de la rue, (Le)point des horizons... (©2009-cAc)
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