mercredi 16 juillet 2008

La Ciotat, berceau de la pétanque


La pétanque est née à La Ciotat au jeu de boules BERAUD exploité par les frères Pitiot. C’était en 1910. En effet, les grands joueurs du jeu provençal de la région se donnaient rendez-vous au jeu de boules BERAUD. Les spectateurs étaient autorisés pour 0,05F. à prendre des chaises pour assister aux parties, mais comme ils arrêtaient souvent les boules tirées parce qu’ils ne se relevaient pas assez vite, les joueurs réclamèrent la suppression des chaises. Ce qui fut fait. Mais, Jules le Noir, un commerçant de La Ciotat, perclus de rhumatismes, fut très contrarié, et comme il ne pouvait plus se tenir sur ses jambes il fut autorisé à avoir une chaise à condition qu’il reste à côté du rond. Assis, Jules s’amusait à tirer à 1 mètre 50 ou 2 à 3 mètres. Un jour, pour lui faire plaisir, monsieur Pitiot lui proposa de faire une partie « les pieds tanqués » de 2 à 3 mètres. Ils ont joué, le lendemain et les jours suivantes ils ont recommencé et les joueurs plus très jeunes qui regardaient jouèrent aussi. Alors, le jeu « les pieds tanqués » ou « la pétanque » est né.

La Ciotat

Hace 176 años, el escritor y poeta romántico, Alphonse de Lamartine, hizo un viaje a Palestine a bordo del Brick “Alceste”. El barco hizo una escala en el puerto de La Ciotat del 13 al 16 de julio de 1832, y el poeta, encantado con la pequeña ciudad, escribió:
“Heureux l’homme qui naît et qui meurt au soleil. Heureux surtout celui qui a sa maison, la maison et le jardin de ses pères, au bord de cette mer dont chaque vague est une étincelle qui jette sa lumière et son éclat sur la terre”.
Seis años más tarde, Henry-Marie Beyle, pasa por la ciudad mediterránea durante la primavera de 1838. En efecto, el Cónsul de Francia en Civitavecchia (Estados Romanos), conocido en literatura como Stendhal, se aloja en un hotel frente al puerto los días 16 y 17 de mayo, y en “Mémoire d’un touriste - 1839” escribe:
“Si je devais absolument habiter une petite ville, je choisirais Grasse ou La Ciotat”. Yo pisé La Ciotat por la primera vez en 1995 y quedé prendado a ella. A la luz intensa del sol, a los reflejos azules del mar envolviendo su costa, a sus calas tranquilas y al canto omnipresente de las cigarras y la algarabía de sus gaviotas.